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Titre du blog : Duels cavalier contre fou, par P-A CATHIGNOL
Auteur : echecs-cathignol-duels-c-f
Date de création : 17-02-2017
 
posté le 09-03-2018 à 21:53:59

3. Chemin escarpé, par Pierre-Antoine CATHIGNOL

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CHEMIN ESCARPÉ

Auteur : Pierre-Antoine CATHIGNOL, né le samedi 3 décembre 1949, au Mans (Sarthe).

Problème : N°1764 de DIAGRAMMES N°81 (deuxième trimestre 1987), page 1299.

Composé le : vers 1977 [numéro personnel (a posteriori) : 2249]

Note explicative : je me suis décidé à envoyer ce problème pour publication environ DIX ANS après sa création, malgré sa clé dramatiquement évidente, ne parvenant toujours pas à composer un duel 100% « Cavalier contre Fou » long de plus de 18 coups, ou même un autre long aussi de 18 coups, et sans prise encore bien !

Type : Direct orthodoxe (= "normal", "traditionnel", "classique", etc.) : les Blancs jouent et font mat au 18ème coup.

Solution abrégée : page 1343 de DIAGRAMMES N°83 (quatrième trimestre 1987).

Essais : il n’y a pas d’essai sérieux !! Envoyé pour publication uniquement parce que record de longueur.

Prix : Deuxième prix des multicoups 1987-1988 (sur 21 problèmes publiés) :

DIAGRAMMES N°91bis (quatrième trimestre 1989), page 1722.

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Juge : Stephan EISERT, problémiste allemand, né en 1943.

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Beauté : longueur exceptionnelle pour un problème direct orthodoxe dans lequel seules deux pièces jouent :

Le cavalier joue les 18 coups des Blancs.

Le fou joue les 17 coups des Noirs.

De surcroît, il n’y a aucune prise !

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Commentaires :

— A) Du responsable de la rubrique, dans DIAGRAMMES, Charles WERMELINGER :

« Plusieurs solutionnistes ont cru pouvoir résoudre en 16 coups. Il n’en est rien, car l’auteur a exploré toutes les possibilités et son analyse comporte 12 pages de variantes ! »

— B) Du juge : Un duel grandiose, de la même famille que le premier prix, mais visiblement orienté vers un record de longueur, car les premiers coups du CB sont tels que l’on a envie de citer "Der Taucher" ("Le plongeur") de SCHILLER :

Gleich faßt mich der Strudel mit rasendem Toben,

Doch es war mir zum Heil, er riß mich nach oben.

[Déjà le tourbillon me saisit avec rage,

Mais ce fut pour mon salut, il m’entraîna vers le haut.]

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Notes biographiques :

1) Charles WERMELINGER

Internet nous apprend ceci :

Date de naissance : 12 novembre 1922.

Date de décès : 28 mars 2008.

Auparavant, j'avais ceci comme informations :

Problémiste français. Fort solutionniste, il battit tous les records d’assiduité dans la revue EUROPE-ÉCHECS. Il fut nommé, en 1959, juge international pour la composition. Il a composé environ 400 problèmes.

[selon Alain BIÉNABE, "le Nouveau Guide des Échecs", Éditions "Robert Laffont", collection "Bouquins", Paris, 2009]

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2) Stephan EISERT, problémiste allemand, né en 1943.

Spécialisé dans les multicoups stratégiques, il a publié beaucoup d’œuvres en collaboration avec Hans Peter REHM, né en 1942, aussi problémiste allemand.

[selon Alain BIÉNABE, "le Nouveau Guide des Échecs", Éditions "Robert Laffont", collection "Bouquins", Paris, 2009]

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Et puis aussi (pour votre instruction générale, car moi je m‘en fiche un peu) : J

3) Johann Christoph Friedrich (von) SCHILLER est un poète, écrivain et théoricien de l'esthétique allemand, né le 10 novembre 1759 à Marbach am Neckar et mort le 9 mai 1805 à Weimar.

Auteur de poèmes et de pièces de théâtre à caractère philosophique, il est connu pour avoir développé la notion de création artistique en tant que vecteur de la Weltanschauung, c'est-à-dire de conception du monde.

(selon Wikipédia) J

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NOTE : 35 demi-coups en tout. RECORD DU MONDE ?

Je ne connais pas de problème "direct orthodoxe" (= "normal", "traditionnel", "classique", etc.) plus long dans lequel jouent une SEULE pièce blanche (ici : le cavalier) et une SEULE pièce noire (ici : le fou), le tout SANS AUCUNE PRISE !

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— Je n’ai même jamais rien trouvé d’approchant. On trouve beaucoup de mats en 50 coups, 100 coups ou même plus encore, où peu de pièces jouent, une espèce de « refrain » revenant régulièrement avec une pièce blanche et une pièce noire qui jouent. Mais il y a toujours des « couplets » entre ces refrains, avec au moins une autre pièce qui joue. En plus, les tout derniers coups sont souvent joués par une ou deux autres pièces en plus. Bref, ce n’est pas comme dans mon problème.

— Vers l’an 2000, j’ai fait publier par DIAGRAMMES, grâce à la gentillesse de Claude WIEDENHOFF, un petit texte montrant trois problèmes (celui-ci et deux autres d'environ 25 coups) qui sont peut-être des records du monde de longueur, en demandant aux lecteurs si l’un d’entre eux savait si on avait fait mieux dans le genre.

Les années ont passé, DIAGRAMMES a coulé, mais je n’ai jamais reçu de réponse, hélas. L

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Variations sans dual : 8480 variations sans dual.

Variantes sans dual : 7 variantes sans dual.

Parcours sans dual : 7 parcours sans dual.

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J’avoue que je ne m’attendais pas à recevoir un prix, tellement la clé (le premier coup des Blancs) est évidente. Je craignais même que ce problème ne fût même pas publié, pour la même raison. Mais feu Charles WERMELINGER l’a accepté pour publication et Stephan EISERT a bien compris que ce problème était « visiblement orienté vers un record de longueur » (je le cite, dans son jugement). Comme pour mes autres records de longueur, il est fréquent que, en tentant de le rallonger au maximum, on aboutisse à une clé triviale, plus ou moins évidente. Mais, en terme d’évidence, ce problème bat évidemment tous les records vu que seul le cavalier peut jouer, d’une part, et que, d’autre part, il n’y a que sur la case a1 où il puisse jouer sans être en prise, subissant la forte opposition dominatrice verticale de son sinistre adversaire, le fou noir des Noirs.

À cause de ce record de longueur, j’estime que mon prix était tout à fait mérité.

Et je n’ai pas jalousé l’auteur du Premier Prix, vu que j’ai une sympathie particulière pour son auteur et son problème. J

Si vous voulez en savoir plus, lisez l’article suivant de mon blog. J

 

 

CHEMIN ESCARPÉ

 

 


6+7                                                                                          18#

 

Solution

 

 

— Note : il faut 9 minutes et 1 seconde à Komodo pour voir le mat en 18 coups ; mais il le trouve en fin de profondeur 35, ce qui (pour une fois !!) est logique, puisque le mat survient au bout de 35 demi-coups. Il faut dire qu’on ne pouvait pas lui proposer plus simple, vu que toutes les pièces autres que le cavalier et le fou sont immobilisées. Mais ça devrait être TOUJOURS ainsi, c’est-à-dire que, lorsqu’une une fin de profondeur (2n-1) est atteinte, TOUTES les situations possibles au bout de n coups blancs et (n-1) coups noirs devraient avoir été examinées. Or Komodo, menteur comme la plupart de ses concurrents du commerce, est très loin de tout ça, en règle générale (voir certains de mes autres blogs).

— Note : MATEBADIX (pas même paramétré) trouve la clé en 1 seconde et 76 centièmes. Par contre il ne donne pas les 8480 variations sans dual car sa mémoire est pleine (sur mon vieux PC Windows XP). Il faut le décomposer en deux, après chaque premier coup noir possible (voir juste ci-dessous), pour avoir, en deux fois moins de 10 secondes, les 8480 variations sans dual.

 

1.Ca1! Fd4(!) ou Fa7(!) (sinon mat dès le 10ème coup) (objections plongeante et comtale verticale) [8480 (= 4240 + 4240) VSD]

Ces 2 objections forment une vigilance tertiaire, dont le but est de pouvoir aller en b6 sur Cb3.

2.Cb3! Fb6(!) (sinon aussi mat dès le 10ème coup) (opposition dominatrice verticale) [4240 VSD]

3.Cc1! Fc5(!) ou Fc7(!) (sinon mat dès le 12ème coup) (objections verticales ducale et comtale) [4240 (= 2120 + 2120) VSD]

On pourrait donner un nom à cette sorte de vigilance qui se prépare à aller sur une case précise au coup suivant (ici d6) SANS rester sur une même diagonale, mais je ne l’ai pas fait (sur mon blog des "Situations"). Ça arrive pourtant souvent.

4.Cd3! Fd6(!) (sinon aussi mat dès le 12ème coup) (opposition dominatrice verticale) [2120 VSD]

5.Cb2! Fe5(!) (sinon mat dès le 14ème coup) (objection plongeante) [toujours 2120 VSD]

L’objection plongeante, quand elle est la réponse UNIQUE comme ici, c’est rare !

6.Cc4! Fc7(!) (sinon aussi mat dès le 14ème coup) (opposition dominatrice verticale) [toujours 2120 VSD]

7.Ca3! Fd6(!) (sinon mat dès le 16ème coup) (objection plongeante) [toujours 2120 VSD]

L’objection plongeante, quand elle est la réponse UNIQUE comme ici, c’est rare !

Comment ça, je me répète ? Peut-être, mais… c’est rare ! J

8.Cb5! Fe5(!) (sinon mat dès le 14ème coup) (opposition dominatrice horizontale) [toujours 2120 VSD]

9.Ca7! Fd4(!) (objection plongeante) [toujours 2120 VSD]

— Note : 9...Fb2(?), 9...Fc3(?) et 9...Fg7(?) résistent aussi longtemps que 9...Fd4(!) joué ci-dessus (mat au 18ème coup également). Mais ces trois coups permettraient un dual avec 10.Cc8(!) en plus du coup du texte (10.Cc6) qui suit.

C’est l’occasion pour le lecteur de mieux comprendre pourquoi, dix ans après avoir composé ce problème, je ne l’avais pas même égalé. Je me souviens notamment d’avoir composé un mat en 16 coups mais… qui présentait au moins un dual dans toutes les variantes principales. Ici, 9...Fd4(!) ne permet pas de dual à cause de l’enfermement qui suivrait :

10.Cc8? Fc5!! 11.Cavalier joue (forcé) Fou prend Cavalier!! : pat !

10.Cc6! Ff6(!) (sinon mat dès le 12ème coup) (opposition dominatrice) [toujours 2120 VSD]

— Note : sur un autre 10ème coup noir, le mat surviendrait ainsi :

—— A) 10...Fc5? 11.Ce5! ~~ 12.Cg6#

—— B) 10...Autre coup? 11.Ce7! ~~ 12.Cf5# ou Cg6#

11.Cb8! Fd4(!) ou Fe5(!) ou Fe7(!) (objections bi-chevaline, plongeante et chamelée) [2120 (= 312 +1060 +748) VSD]

— Note : 11...Fa1(?), 11...Fb2(?), 11...Fc3(?) et 11...Fh8(?) résistent aussi longtemps que 11...Fd4(!), 11...Fe5(!) et 11...Fe7(!) joués ci-dessus (mat au 18ème coup également). Mais ces quatre coups permettraient un dual avec 12.Ca6(!) en plus du coup du texte (12.Cd7) qui suit.

À ce stade, il n’apparaît toujours pas de variantes, car le douzième coup blanc est le même dans les trois cas, à savoir :

12.Cd7!

Toutefois, les Noirs ayant maintenant deux bonnes défenses, à savoir : 12…Fd6(!) et 12…Fg7(!), cela crée une petite difficulté (de bien peu d’importance) au niveau du calcul du nombre de variations sans dual, vu que :

—— a) 11…Fd4(!) permet de jouer 12…Fg7(!), mais pas 12… Fd6(!).

—— b) 11…Fe7(!) permet de jouer 12…Fd6(!), mais pas 12… Fg7(!).

—— c) 11…Fe5(!) seul, permet de jouer à la fois 12…Fd6(!) et 12…Fg7(!).

Le plus simple me paraît d’étudier seulement 11…Fe5(!) et, ainsi, on aura toutes les variantes sans dual. Quant au nombre de variations sans dual, on l’obtiendra en doublant les chiffres obtenus, vu que 11…Fd4(!) et 11…Fe7(!) auront été occultés.

On a donc [sur 11...Fe5(!) 12.Cd7!] les deux variantes principales suivantes A et B (sinon mat dès le 14ème coup) :

Notez qu’on va trouver 748 VSD puis 312 VSD, le total faisant seulement 1060 VSD, et non 2120, ce qui est normal, vu que, si on va bien étudier toutes les variantes, on ne va par contre étudier que la moitié des variations. Pigé ? J

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— A) 12...Fd6(!) (opposition amoureuse verticale) [748 VSD]

13.Cf6! Fa3(!) ou Fb4(!) ou Fc5(!) ou Fe7(!) (sinon mat dès le 16ème coup) (objections guanaquée, bi-chevaline, chamelée et touchante) [748 (= 187 x 4) VSD]

Ces 4 objections forment une vigilance primaire (visant la case f8).

14.Ce8! Ff8(!) (sinon mat dès le 16ème coup) (opposition amoureuse horizontale) [748 (= 187 x 4) VSD]

15.Cc7! et là, deux variantes principales, A1 et A2 :

À noter que 15...Fc5(?) n’en fait pas partie bien qu’il résiste autant car il permettrait un dual, 16.Cb5(!) et 16.Ce6(!) conduisant alors l’un comme l’autre à un mat dès le 18ème coup.

À noter par ailleurs que chacune des 187 VSD ci-dessus va se trouver décomposée en 171 VSD plus 16 VSD.

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—— A1) 15...Fa3(!) ou Fb4(!) ou Fd6(!) ou Fe7(!) ou Fg7(!) (objections bi-chevaline, chamelée, touchante, royale horizontale et ducale horizontale) [171 (= 24 + 26 + 25 + 24 + 72) VSD]

Les 4 premières objections formant une vigilance primaire.

16.Ce6! et là, trois variantes principales [il existe des coups, comme 16...Fa3(?), non considérés car ils permettraient un dual au coup suivant] A11, A12 et A13 :

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——— A11) 16...Fa1(!) ou Fb2(!) ou Fc3(!) ou Fd4(!) ou Fe5(!) ou Ff6(!) ou Fh8(!) (oppositions niobée, antilopienne, zébrée, chevaline sacrificielle patifiante, amoureuse verticale, amoureuse horizontale et encore zébrée) {102 [= 7 + 18 (= 9 x 2) + 22 (= 11 x 2) + 10 + 20 (= 10 x 2) + 18 (= 9 x 2) + 7] VSD}

Ces 7 oppositions forment surveillance première.

17.Cf8! ~~ (indifférence absolue)

18.Cg6#

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——— A12) 16...Fc5(!) (opposition chevaline sacrificielle patifiante) [32 (= 8 x 4) VSD]

17.Cg7! ~~ (indifférence absolue)

18.Cf5#

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——— A13) 16...Ff8(!) ou Fh6(!) (oppositions chevaline sacrificielle patifiante et dominatrice horizontale) {37 [= 35 (= 7 x 5) + 2] VSD}

17. Cd4! ~~ (indifférence absolue)

18. Cf5 #

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—— A2) 15...Fh6(!) (objection ibisée, TRÈS RARE ainsi en solitaire) [16 VSD]

Note : cette objection n’est solitaire que d’une certaine façon, vu que 15...Fg7(!) ci-dessus conduit aussi à une variante principale (A1). Mais ce n’est pas la même variante. Ces deux objections forment une (pseudo-) vigilance secondaire.

16.Cb5! et là, deux variantes forcées, A21 et A22 :

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——— A21) 16...Ff8(!) (opposition antilopienne) [7 VSD]

17. Cd4! ~~ (indifférence absolue)

18. Cf5 #

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——— A22) 16...Fg7(!) (opposition corsarée) [9 VSD]

17. Cd6! ~~ (indifférence absolue)

18. Cf5 #

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— B) 12...Fg7(!) (opposition dominatrice horizontale) [312 VSD]

13.Cc5! Fe5(!) ou Ff6(!) ou Ff8(!) (objections royale horizontale, chamelée et plongeante) [312 (= 104 x 3) VSD]

— Note : 13...Fa1(?), 13...Fb2(?), 13...Fc3(?), 13.Fd4(?), 13.Fh6(?) et 13...Fh8(?) résistent aussi longtemps que 13...Fe5(!), 13...Ff6(!) et 13...Ff8(!) joués ci-dessus (mat au 18ème coup également). Mais ces six coups permettraient un dual avec 14.Cb7(!) en plus du coup du texte (14.Ce6) qui suit.

14.Ce6! Fg7(!) (sinon mat dès le 16ème coup) (opposition chevaline sacrificielle patifiante) [104 VSD]

15.Cd8! Fa1(!) ou Fb2(!) ou Fc3(!) ou Fd4(!) ou Fe5(!) ou Fh8(!) (objections cériomée, bi-chamelée, ibisée, ducale verticale, chamelée et ducale horizontale) [104 (= 19 x 6) VSD]

Ces 6 objections forment une vigilance secondaire.

16.Cf7! et là, deux variantes principales, B1 et B2 :

Pas davantage de variantes principales car le cavalier menace de mater en deux coups de quatre façons différentes (par 18.Cf5# via 17.Cd6! et 17.Ch6! d’une part, et 18.Cg6# via 17.Ce5! et 17.Ch8! d'autre part) ; et, en conséquence, deux seizièmes coups noirs seulement permettent d’éviter des duals.

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—— B1) 16...Fe5(!) (opposition chevaline, sacrificielle patifiante) [50 (= 10 x 5) VSD]

17. Ch6! ~~ (indifférence absolue)

18. Cf5 #

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—— B2) 16...Fg7(!) (opposition amoureuse horizontale) [54 (= 9 x 6) VSD]

17. Cd6! ~~ (indifférence absolue)

18. Cf5 #

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On a donc bien au total sept variantes, à savoir :

A11, A12, A13, A212, A22, B1 et B2.

Rappelons que le nombre de variations est de très peu d’intérêt. Et que, par contre, en général, l’intérêt d’un problème traditionnel augmente avec les nombre de variantes.

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Rédacteur du présent blog :

Pierre-Antoine CATHIGNOL, né au Mans le 3 décembre 1949, domicilié à Clermont-Ferrand.

Pour tout contact : cathignol@laposte.net

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Édition du samedi 10 mars 2018 à 18h20

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